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"Published the first day of Climate Week NYC and two days before the meeting of the Consumer Goods Forum (CGF) Rainforest Action Network (RAN) has released a new report that shows conclusively that deforestation linked to major consumer goods companies is on the rise, not falling, in the nationally protected Rawa Singkil Wildlife Reserve in Indonesia’s globally important Leuser Ecosystem. The driver of this destruction is Conflict Palm Oil."

Rapport des acteurs de l'industrie du cuir européenne concernant les enjeux d'impact environnementaux, sociaux et de gouvernance de celle-ci.

Ce rapport explore la société Diamville, un bureau centrafricain d’export de diamant affilié avec la galaxie Prigojine/Wagner: ses liens avec la Russie, l’origine probable des diamants que la société vend et ses clients potentiels.

"For years, luxury brands have escaped the same level of scrutiny shown to fast fashion labels regarding their environmental practices. Hidden behind prestigious labels, there is a consumer assumption that the higher the price for an item, the more sustainable it is. This is not the case, as we see greenhouse gas emissions increasing over the years from some of the biggest names in the luxury fashion sector. There are also gaps in the data available because many luxury brands fail to disclose the details of their complex global supply chains, making it impossible to see the full scale of the problem. For a truly sustainable future, we need to hold luxury brands accountable for their impacts on people and the planet, just like fast fashion."

"The world is currently experiencing a severe “biodiversity crisis.” This is primarily caused by human activity, leading to what scientists refer to as the “sixth mass extinction.” In 2023, biodiversity loss was recognized as the fourth-biggest long-term global risk by the World Economic Forum. While the industry’s sustainability efforts have mainly been focused on climate action, organizations are increasingly recognizing that climate and nature are two sides of the same coin. Since so many of the materials used by the fashion, textile, apparel, and footwear industry come from the land, companies have a vital opportunity to not only reduce harm and mitigate risk, but to actively protect, restore, and regenerate natural ecosystems. The Biodiversity Landscape Analysis for the Fashion, Apparel, Textile, and Footwear Industry was created by Textile Exchange and the Fashion Pact, in partnership with Conservation International and supported by Biodiversify – aiming to align companies on their journeys toward protecting and restoring nature."

"We are facing the next great extinction event. The oceans are polluted. The climate is changing. Three quarters of land and two thirds of the marine environment have been fundamentally altered by humans. A quarter of species are at risk of extinction.1 Many of the services from the natural world on which business and communities rely – called ecosystem services – have been compromised. The earth’s systems are reaching a tipping point beyond which business as usual will no longer be an option."

Présentée lors de la Journée de la Mode Circulaire, l'étude dresse un état des lieux et projette les perspectives d’évolution à horizon 2030 des modèles d’affaires circulaires que sont le réemploi, la réparation, l'upcycling et le recyclage à l’échelle de la France. L'augmentation du volume d'articles mis sur le marché chaque année a amplifié la détérioration de l'impact environnemental du secteur. La mode circulaire, qui devrait atteindre 14,2 milliards d'euros en 2030, représente une solution vertueuse et viable pour une transformation plus responsable du secteur permettant d'en réduire les émissions de 16%. En effet, d'ici 2030, les marchés circulaires devraient représenter 29% du marché de la mode contre 12% en 2012, principalement soutenus par l'essor du marché de la seconde main. Le rapport permet enfin de s'intéresser à chacune des typologies de modèles d'affaire, ses perpectives d'évolution et d'en dresser les enjeux de soutien à l'adoption.

"Dans cet Insight, IPIS fournit un contexte et une analyse de plusieurs aspects du secteur diamantaire russe, des liens qu'il entretient avec l'invasion de l'Ukraine par la Russie, et de la manière dont la communauté politique et commerciale internationale cherche une réponse adéquate aux défis que cela soulève. Ce rapport commence par une brève présentation du type d'acteur qu'est Alrosa, suivi de son bilan en matière d'approvisionnement responsable. Le rapport analyse ensuite les différents liens directs et indirects entre le secteur diamantaire russe et l'invasion de l'Ukraine. L'état des lieux de la réponse des gouvernements et des entreprises à cette situation est présenté dans les deux sections suivantes. Cet IPIS Insight se termine par une analyse de l'impact considérable de cette crise sur le processus de Kimberley, le système international de certification des diamants de la guerre, même s'il est peu probable que cet organisme prenne des mesures à ce sujet."

"Après avoir connu des conditions difficiles en 2020, l'industrie du diamant s'est montrée brillante et résiliente, et a réalisé des performances spectaculaires en 2021. Chaque secteur de l'industrie du diamant a obtenu de très bons résultats en 2021 et est sorti de la crise provoquée par le Covid-19 bien positionné pour la croissance future. En 2020-21, l'industrie du diamant a investi massivement dans la technologie pour gagner en efficacité opérationnelle, créer des expériences de marketing et de consommation qui attirent les acheteurs, et accélérer les schémas de commerce électronique. Même les petits détaillants familiaux ont ajouté des plateformes de vente en ligne pour atteindre les consommateurs qui ne pouvaient pas faire leurs achats en personne ou voyager en raison des mesures sanitaires imposées par le gouvernement."